J'aime bien la façon ce livre est ordonné. Nous voyons les vies des ouvrières premièrement alors maintenant nous pouvons voir la vie de la noblesse. Cet ordre m'aide avec les rapports entre les deux classes. Il y a une juxtaposition grande ici, Annie Jay nous donne les descriptions tristes pour les ouvrières et maintenant elle décrit un palais incroyable!!!...avec les pauvres les regardent et leur égoïsme.
J'aime les pensées d'Olympe à la page 258.
"L'étiquette est à la fois si rigide et si souple! On porte des tenues suprêmement élégants, mais on ne se lave pas, on crache par terre et on s'enivre. Je peux vous assurer que les lavandières ont de meilleures manières!"
Je trouve aussi que les gens qui aient peu sont meilleurs exemples pour société.
Pouvons-nous parler de la lotterie? Je ne comprends pas cette idée?
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